Je suis tombé sur les recherches d’Otto Warburg un peu par hasard il y a quelques semaines, en cherchant de l’information sur des traitements efficaces du cancer. Ce que j’ai appris m’a sidéré. Otto Heinrich Warburg est né le 8 octobre 1883 et s’est éteint le 1er août 1970. Il a consacré la majorité de sa vie à la recherche sur le cancer. Il a reçu le prix Nobel de médecine en 1931, mais pour autre chose que le cancer, «pour sa découverte de la nature et du mode d’action de l’enzyme respiratoire». En 1966, il a tenu un discours devant des candidats au prix Nobel, discours portant sur ses découvertes sur le cancer. Je le traduis.
La cause première et la prévention du cancer
Il y a une cause primaire et une cause secondaire aux maladies. Par exemple, la cause première de la peste est le bacille de la peste, mais les causes secondaires de la peste sont la saleté, les rats et les mouches qui transmettent le bacille de la peste des rats aux hommes. Par la cause primaire d’une maladie, je veux dire celle qui est trouvée dans chaque cas pour la maladie.
Le cancer, au-delà de toutes les autres maladies, a un nombre incalculable de causes. Pratiquement n’importe quoi peut causer un cancer. Mais, même pour le cancer, il n’y a qu’une cause primaire. La cause primaire du cancer est le remplacement de la respiration de l’oxygène (oxydation du sucre) dans les cellules normales du corps par la fermentation du sucre.
Toutes les cellules normales du corps remplissent leur besoin en énergie par la respiration de l’oxygène, tandis que les cellules cancéreuses remplissent leur besoin énergétique en bonne partie par la fermentation. Toutes les cellules normales du corps sont donc aérobies par obligation, tandis que les cellules cancéreuses sont partiellement anaérobies. D’un point de vue physique et chimique de la vie cette différence entre les cellules normales et cancéreuses est si grande que quelqu’un peut difficilement une plus grande différence. L’oxygène, le donneur d’énergie dans les plantes et les animaux, est détrônée dans les cellules cancéreuses et est remplacée par la réaction énergétique des formes de vie plus basses, la fermentation du sucre.
Dans tous les cas, durant le développement du cancer, la respiration de l’oxygène fait toujours défaut, la fermentation apparaît, et des cellules très différentes sont transformées en des anaérobies fermentants, qui ont perdu leurs fonctions corporelles et retiennent uniquement la propriété maintenant inutile de croissance et de multiplication. Donc, lorsque la respiration disparaît, la vie de disparaît pas, mais la signification de la vie disparaît et ce qui reste est des machines croissantes qui détruisent le corps dans lequel elles croissent.
Tous les cancérogènes nuisent à la respiration directement ou indirectement en dérangeant la circulation capillaire, une affirmation qui est prouvée par le fait qu’aucune cellule cancéreuse existe sans montrer une respiration défectueuse. Bien sûr, la respiration ne peut être réparée si elle est détériorée en même temps par un cancérogène.
Pour prévenir un cancer il est donc proposé en premier de garder la vitesse de la circulation sanguine si élevée que les veines contiennent suffisamment d’oxygène; en second, de garder haut le taux d’hémoglobine dans le sang; en troisième, de toujours ajouter à la nourriture, même pour les gens en santé, les groupes actifs des enzymes respiratoires; et d’augmenter les doses de ces groupes si un état pré-cancéreux est déjà développé. Si en même temps les cancérogènes exogènes sont exclus rigoureusement, alors la majorité des cancers endogène peuvent être prévenu dès aujourd’hui.
Ces propositions sont en rien utopiques. Au contraire, elles peuvent être appliquées par tout le monde, partout, à n’importe quelle heure. Contrairement à la prévention de plusieurs autres maladies, la prévention du cancer requiert pas d’aide gouvernementale, et peu d’argent.
Plusieurs experts s’accordent que quelqu’un peut prévenir 80% des cancers chez l’homme, si les cancérogènes sont gardés loin des cellules normales du corps. Mais comment le 20% restant, les cancers dit spontanés, peuvent être évités ? Il est indiscutable que tous les cancers seraient évités si la respiration cellulaire était gardée intacte.
Personne aujourd’hui peut dire que la cause principale du cancer est inconnue. Au contraire, il n’y a pas de maladie dont la cause primaire est mieux connue, donc l’ignorance n’est plus une excuse pour éviter les mesures de prévention. Que la prévention du cancer va venir ne fait pas de doute. Mais combien de temps cette prévention sera évitée dépend du temps que les prophètes de l’agnosticisme vont réussir à inhiber l’application de la connaissance scientifique dans le domaine du cancer.
Entre temps, des millions d’hommes et de femmes devront mourir inutilement du cancer.
Otto Warburg
The-Prime-Cause-and-Prevention-of-Cancer
Être fortuné, je poursuivrais les oncologues, le ministre de la santé et la société canadienne du cancer, car ce qu’ils font est criminel : maintenir les gens dans l’ignorance afin de s’enrichir et d’enrichir l’industrie. Pendant ce temps, des gens souffrent et meurent inutilement. Heureusement pour eux, je suis pauvre et je pratique le pardon à la place. N’empêche, j’espère qu’un des dossiers d’accusation concerne la magouille derrière le cancer.
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